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Christophe Esperado : 04-01-2002
 
Je ne parlais pas nécessairement de littérature, tout le malentendu vient de là.

 Noyé sous des tonnes de débris culturels depuis ma prime enfance, traîné au Louvre par mes grands parents peintres aux séances de l'académie par mon oncle en habit vert, exaspéré par le massacre des lettres à Elise et autres "méthode rose" que les élèves de ma moman pianiste reprenaient à l'envie, j'ai droit au bénéfice de circonstances atténuantes. Ma mère étant, de plus, grande voyageuse, il a fallu transbahuter tout ça très souvent, d'immeubles en immeubles (architecture), de ville en villes (urbanisme), monter le piano (musique) dans des escaliers étroits aux rampes envahissantes (sculpture), reclasser sans cesse les livres de famille, de plus en plus poussiéreux et nombreux dans des bibliothèques de plus en plus petites (littérature). Puis, à sa mort, il a fallu se partager les tableaux de famille, y compris ceux, inachevés par centaines, découverts dans le vieux garde meuble (peinture). Il me reste des arts une vision fort personnelle, que je ne demande à personne de partager étant altruiste et n'ayant aucun kinésithérapeute ni psychiatre dans mes proches relations.
Lorsqu'on m'a posé, pour la première fois la question de l'île déserte, avec Le disque ou bien Le livre à y emmener avec soi, je suis resté sans voix. Ce n'était pas une question, c'était une révélation! Depuis, j'ai radicalisé la méthode. Pensé que les souvenirs étaient moins lourds à porter. L'âge venant, cela s'avère insuffisant, il va falloir faire le tri des souvenirs aussi.  N'y voyez donc aucune contradiction, mais un enchaînement (mathématique) de relations de cause à effet. Il est aussi à remarquer que tout le monde s'entend pour affirmer qu'à notre époque il n'existe plus d'île déserte.

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